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DECEMBRE 1693. Sy I
adre de reponse par écrit ; et que n'ayant que peu ems à demeurer à Rome, ils devoient s'éviter la ie de visiter les cardinaux.
L quoi le duc de Nevers répliqua : i ° que les pre-qui étoient avec lui ne pouvoient faire un seul pas 1 congé; et qu'il perdroit plutôt la tête que de leur ■lettre de faire une telle démarche, honteuse pour et pour son maître; _t° qu'étant envoyé par un id monarque, la moindre chose que le Pape lui lit étoit de lui donner par écrit la reponse qu'il lui îpndoit; 3° que l'usage est que les ambassadeurs Vtes couronnées visitent les cardinaux, pour les mier du sujet de leur ambassade.
[ de Tolède voyant le duc de Nevers si ferme 1 resolution, promit d'en parler à Sa Sainteté. Meademain, le maistre de la chambre du Pape . aa duc de Nevers que le Pape persistoit en sa de ne point recevoir lesdits prelats ; et qu'il de Rome au tems prefix, n'ayant aucune i traiter avec lui, n'étant venu que comme une » privé*, et non chargée d'affaire quelconque -Havane (' c'est de ce nom qu'on appeloit le Roy Ite), comme le pere Poussevin le lui avoit declaré. Iile duc de ISevers a repondu quc ledit pere Pous-fctolni avoit pas fait cette exception. -tbrôr £u£ étant rapporté au Pape, le pere Pous-Jfat caMtxaàut de sortir de Rome pour éviter la Fdn -Pia-BWf et les prelats françois, craignant un -W fichcoK, se sauvèrent dans la chambre du t
---Beveca^ JLovs bagages et mulets furent arrête** fc Gobelin T envoyé par les religieux de Sj-â**^ **
--Mr rendre compte au Pape de ce qui sêioitP**1*
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